Utilisation de l'intelligence artificielle pour anticiper les complications après une opération de l'aorte abdominale
Objectif(s) de la recherche et intérêt pour la santé publique
Finalité de l'étude
Objectifs poursuivis
Domaines médicaux investigués
Bénéfices attendus
Plusieurs équipes ont proposé des critères préopératoires permettant de prédire le risque d’endofuite (perméabilité préopératoire de l’artère mésentérique inférieure, taille du sac) après pose d’une endoprothèse aortique abdominale pour le traitement d’anévrisme de l’aorte abdominale sous-rénale (AAA).
Nous proposons d’évaluer si un algorithme d’auto-apprentissage peut prédire le risque d’endofuites à partir des images scanographiques initiales.
Selon les résultats de l'étude :
- Soit l’algorithme détecte facilement les AAA à haut risque d’endofuite, voire nous permet de détecter les points de chaleurs : ce serait une confirmation de la position de certaine équipe,
- Soit l’algorithme ne détecte pas ou mal les AAA à haut risque d’endofuite : nous apporterons au débat que ces critères sont peu ou pas discriminants en termes de prédictions du risque d’endofuite et que cela remet en cause l’embolisation pré ou per procédure.
Données utilisées
Catégories de données utilisées
Source de données utilisées
Autre(s) source(s) de donnée(s) mobilisée(s)
Appariement entre les sources de données mobilisées
Plateforme utilisée pour l'analyse des données
Acteurs finançant et participant à l'étude
Responsable(s) de traitement
Type de responsable de traitement 1
Responsable de traitement 1
Localisation du responsable de traitement 1
Représentant du responsable de traitement 1
Calendrier du projet
Base légale pour accéder aux données
Encadrement réglementaire
Durée de conservation aux fins du projet (en années)
15
Existence d'une prise de décision automatisée
Fondement juridique
Article 6 du RGPD (Licéité du traitement)
Article 9 du RGPD (Exception permettant de traiter des données de santé)
Transfert de données personnelles vers un pays hors UE
Droits des personnes
La personne a le droit d’accéder, via le médecin de l’étude à toutes les données recueillies à son sujet et, le cas échéant, de demander des rectifications, si les données s’avéraient inexactes ou de les compléter si elles étaient incomplètes.
La personne a également le droit de s’opposer à la transmission ou de demander la suppression des données couvertes par le secret professionnel qui sont susceptibles d’être utilisées et traitées dans cette étude à tout moment et sans justification.
La personne peut également exercer son droit de limitation du traitement de vos données dans les situations prévues par la loi.