N° 20186085

Niveau de preuves de l’efficacité des plateformes instables dans la rééducation des entorses latérales de chevilles non opérées. État des lieux des kinésithérapeutes libéraux à Orléans

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Objectif(s) de la recherche et intérêt pour la santé publique

Finalité de l'étude

Information des professionnels de santé et des établissements de santé sur leur activité

Objectifs poursuivis

Prise en charge des patients
Prévention et traitement

Domaines médicaux investigués

Traumatologie
Médecine physique et de réadaptation

Bénéfices attendus

Les entorses latérales de la cheville représentent l'un des traumatismes articulaires les plus courants, touchant jusqu'à 70 % de la population au cours de leur vie. Mal prises en charge, elles peuvent entraîner des récidives fréquentes, des instabilités chroniques, et des complications telles que l'arthrose précoce, augmentant ainsi les coûts pour le système de santé. Ce projet vise à améliorer les stratégies de rééducation et à promouvoir des pratiques basées sur les preuves, pour réduire ces impacts et améliorer la qualité de vie des patients. Les objectifs de l'étude sont d'une part évaluer l’efficacité des plateformes instables dans l’amélioration de la proprioception et de l’équilibre, afin de réduire le risque de récidive des entorses latérales de la cheville. Et d'autres part de comparer les données scientifiques disponibles avec les pratiques cliniques des kinésithérapeutes libéraux d’Orléans, afin de déterminer l’écart éventuel entre la théorie et la pratique. C’est une étude observationnelle. Les recherches en amont sont faites sur les bases de données scientifiques. L’étude comporte un questionnaire pour les kinésithérapeutes libéraux à Orléans qui prennent en charge des patients avec des entorses de chevilles latérales non opérées. Les résultats sont ensuite évalués statistiquement

Données utilisées

Catégories de données utilisées

Informations recueillies à l'occasion d'activités de prévention, de diagnostic, de soins ou de suivi social et médico-social
Informations relatives aux pathologies des personnes concernées
Autre

Autre(s) catégorie(s) de donnée(s) utilisée(s)

informations relatives aux connaissances des thérapeutes

Source de données utilisées

Autre

Autre(s) source(s) de donnée(s) mobilisée(s)

Enquête(s)

Appariement entre les sources de données mobilisées

  Non

Plateforme utilisée pour l'analyse des données

Autre

Acteurs finançant et participant à l'étude

Responsable(s) de traitement

Type de responsable de traitement 1

Autre

Responsable de traitement 1

Daublon

40 Rue du Ballon 45650 Saint-Jean-le-Blanc 45650 Saint-Jean-le-Blanc France

Localisation du responsable de traitement 1
  Dans l'UE
Représentant du responsable de traitement 1

Type de responsable de traitement 2

Université, école, structure de recherches dans le domaine médicale / épidémiologique / pharmacovigilance

Responsable de traitement 2

Mery Benjamin

123 Rue de la Juine 45160 Olivet France

Localisation du responsable de traitement 2
  Dans l'UE
Le responsable de traitement est également responsable de mise en oeuvre
  Oui

Calendrier du projet

Date de début : 02/12/2024 – Date de fin : 01/06/2025 Durée de l'étude : 7
Etape 1 : Dépôt du projet
10/12/2024

Base légale pour accéder aux données

Encadrement réglementaire

Méthodologie de référence 004

Durée de conservation aux fins du projet (en années)

2

Existence d'une prise de décision automatisée

  Oui

Fondement juridique

Article 6 du RGPD (Licéité du traitement)

(1)(a) consentement spécifique, éclairé et univoque

Article 9 du RGPD (Exception permettant de traiter des données de santé)

(2)(a) consentement spécifique, éclairé et univoque

Transfert de données personnelles vers un pays hors UE

  Non

Droits des personnes

Dans un projet de recherche, les droits des articles 15 à 20 du RGPD garantissent aux
participants un contrôle sur leurs données personnelles. Le chercheur informe les
participants sur le traitement de leurs données (droit d'accès) et leur offre la possibilité
de corriger les informations inexactes (droit de rectification). Si un patient retire son
consentement, il peut demander la suppression de ses données (droit à l'effacement),
sauf si ces dernières sont encore nécessaires pour la recherche. En cas de désaccord sur
l'usage des données, les participants peuvent limiter leur traitement (droit à la limitation).
Enfin, si les données sont transférables, les participants peuvent les récupérer et les
réutiliser ailleurs (droit à la portabilité). Le chercheur veille à respecter ces droits tout en
assurant la confidentialité des informations traitées en laissant ses coordonnées aux
participants.

Délégué à la protection des données

université d'orléans

Chateau de la source Avenue du Parc Floral BP 6749 45100 Orléans France

dpo@univ-orleans.fr