Les schémas de collaboration interprofessionnelle entre les praticien.ne.s dentaires et les kinésithérapeutes dans la prise en soin des dyspraxies linguales
Objectif(s) de la recherche et intérêt pour la santé publique
Finalité de l'étude
Objectifs poursuivis
Domaines médicaux investigués
Bénéfices attendus
L'intérêt de ce travail est de mettre en évidence les collaborations interprofessionnelle pré-existantes entre les kinésithérapeutes et les praticien.ne.s dentaires ainsi que leurs caractéristiques dans le cadre des dyspraxies linguales. Ce travail propose de faire un état des lieux, d'avoir une représentation des liens interprofessionnels actuels mais aussi des obstacles qui les entravent. Nous récolterons ici le point de vue et les données des praticien.ne.s dentaires.
Un questionnaire sera envoyé aux praticien.ne.s dentaires de France via la plateforme "Framaform".
Données utilisées
Catégories de données utilisées
Autre(s) catégorie(s) de donnée(s) utilisée(s)
Informations relatives aux collaborations interprofessionnelles entre professionnel.le.s de santé
Source de données utilisées
Autre(s) source(s) de donnée(s) mobilisée(s)
Appariement entre les sources de données mobilisées
Plateforme utilisée pour l'analyse des données
Acteurs finançant et participant à l'étude
Responsable(s) de traitement
Type de responsable de traitement 1
Responsable de traitement 1
Localisation du responsable de traitement 1
Représentant du responsable de traitement 1
Type de responsable de traitement 2
Responsable de traitement 2
Localisation du responsable de traitement 2
Le responsable de traitement est également responsable de mise en oeuvre
Calendrier du projet
Base légale pour accéder aux données
Encadrement réglementaire
Durée de conservation aux fins du projet (en années)
2
Existence d'une prise de décision automatisée
Fondement juridique
Article 6 du RGPD (Licéité du traitement)
Article 9 du RGPD (Exception permettant de traiter des données de santé)
Transfert de données personnelles vers un pays hors UE
Droits des personnes
Dans un projet de recherche, les droits des article 15 à 20 du RGPD garantissent aux participants un contrôle sur leurs données personnelles. Le chercheur informe les participants sur le traitement de leurs données (droit d'accès) et leur offre la possibilité de corriger les informations inexactes (droit de rectification). Si un participants retire son consentement, il pourra demander la suppression de ses données (droit à l'effacement), sauf si ces dernières sont encore nécessaires pour la recherche. En cas de désaccord sur l'usage des données, les participants peuvent limiter leur traitement (droit à la limitation). Enfin, si les données sont transférables, les participants peuvent récupérer et les réutiliser ailleurs (droit à la portabilité). Le chercheur veille à respecter ces droits tout en assurant la confidentialité des informations traitées en laissant ses coordonnées aux participants.