Evaluation du taux d’ARNs circulaires présents dans les exosomes plasmatiques comme marqueur de réponse à la chimiothérapie
Objectif(s) de la recherche et intérêt pour la santé publique
Finalité de l'étude
Objectifs poursuivis
Domaines médicaux investigués
Bénéfices attendus
Le cancer du poumon, 1ère cause de décès par cancer dans le monde, est un véritable problème de santé publique. 70% des patients présentent un stade avancé lors du diagnostic et relèvent d’un traitement par chimiothérapie, immunothérapie ou thérapies ciblées dont l’efficacité reste limitée par l’apparition récurrente de résistances. Disposer de biomarqueurs spécifiques pour la détection et la sélection précoces de sujets à haut risque de progression rapide, ainsi que de biomarqueurs de la réponse tumorale et/ou de l’échappement aux thérapies, reste une priorité. Dans des modèles cellulaires de cancer du poumon résistant aux sels de platine, nous avons observé la surexpression des ARNs circulaires dérivés des gènes CD163L1, MID2 ou LRP1B.
L’objectif de cette étude est la Mise en évidence d’une dérégulation de l’expression de certains ARNs circulaires chez les patients atteints de CBNPC, pouvant participer à la résilience thérapeutique
Données utilisées
Catégories de données utilisées
Source de données utilisées
Autre(s) source(s) de donnée(s) mobilisée(s)
Appariement entre les sources de données mobilisées
Plateforme utilisée pour l'analyse des données
Acteurs finançant et participant à l'étude
Responsable(s) de traitement
Type de responsable de traitement 1
Responsable de traitement 1
Localisation du responsable de traitement 1
Représentant du responsable de traitement 1
Calendrier du projet
Durée de conservation aux fins du projet (en années)
2
Existence d'une prise de décision automatisée
Fondement juridique
Article 6 du RGPD (Licéité du traitement)
Article 9 du RGPD (Exception permettant de traiter des données de santé)
Transfert de données personnelles vers un pays hors UE
Droits des personnes
Ce traitement des données a pour fondement juridique l’article 6 du Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD) à savoir l’exécution d’une mission d’intérêt public dont est investi le responsable de traitement et les intérêts légitimes poursuivis par lui. De plus, au titre de l’article 9 du RGPD le responsable de traitement peut de manière exceptionnelle traiter des catégories particulières de données, incluant des données de santé notamment à des fins de recherche scientifique.