Satisfaction des usagers en structures de soins primaires aux Antilles Françaises
Objectif(s) de la recherche et intérêt pour la santé publique
Objectifs poursuivis
Domaines médicaux investigués
Bénéfices attendus
Le système de santé français est critiqué pour ses limites en matière de prévention, d’intégration et de coordination. Il en résulte des inégalités d’accès et de de qualité des soins. En premier recours, l’une des solutions envisagées depuis 2007 pour réduire ces inégalités est le développement de Maisons de Santé Pluriprofessionnelles – MSP – associant médecins généralistes et un ou plusieurs autres professionnels de santé dans chaque bassin de population, avec le soutien financier de la puissance publique. Aux Antilles françaises par exemple, on observe une forte prévalence des pathologies chroniques, une morbi-mortalité relativement importante, et de nombreuses situations de vulnérabilité sociale. Dix MSP s’y sont développées au cours des dix dernières années, sous contrôle des Agences Régionales de Santé.. . En 2014, une évaluation nationale des MSP réalisée par l’institut de recherche et documentation en économie de la santé pointait des bénéfices en termes d’offre de soins en zones sous-dotées, mais aussi une hétérogénéité persistante en termes d’intégration et de coordination. Il était recommandé de poursuivre les recherches sur le dispositif et de procéder à réévaluation, par exemple en étudiant la satisfaction des usagers. Depuis lors, peu d’études de ce type ont été réalisées, aucune aux Antilles françaises.
Données utilisées
Catégories de données utilisées
Source de données utilisées
Calendrier du projet
Base légale pour accéder aux données
Durée de conservation aux fins du projet (en années)
2
Fondement juridique
Article 6 du RGPD (Licéité du traitement)
Article 9 du RGPD (Exception permettant de traiter des données de santé)
Transfert de données personnelles vers un pays hors UE
Droits des personnes
Aucune donnée directement identifiante n’est traitée. Dans les bases de données constituées pour les besoins de l’étude, les structures de soins et les usagers sont désignés par un numéro d’anonymat qui leur est communiqué afin qu’ils puissent exercer leurs droits, mais sans liste de correspondance.