Etude PIVER
Objectif(s) de la recherche et intérêt pour la santé publique
Objectifs poursuivis
Domaines médicaux investigués
Bénéfices attendus
Les infections vaginales, en dehors des IST, sont des causes très fréquentes de consommation de soins, la plupart des femmes ayant une infection vaginale au cours de leur vie. Même si elles ne présentent pas habituellement de caractère de gravité, elles peuvent induire une gêne importante à type d’inconfort, douleur, prurit affectant la qualité de vie. De plus, les infections vaginales récidivantes, qui concernent 10 à 15% des infections vaginales, peuvent être très invalidantes du fait qu’elles provoquent anxiété voire dépression et dysfonctionnements sexuels (dyspareunies notamment). Leur prise en charge est ainsi plus complexe, incluant des traitements très longs pouvant aller jusqu’à 6 mois, et impliquant parfois le recours à des soins hospitaliers.. . Il existe donc un intérêt de santé publique à étudier la prise en charge, en conditions de vie réelle, d’un premier épisode d’infection vaginale (hors IST), mais aussi des récidives au vu de l’impact socio-économique de la pathologie. Ceci inclut notamment la description des spécialités remboursées par l’assurance maladie, ainsi que leurs modalités de prescription.
Données utilisées
Catégories de données utilisées
Source de données utilisées
Variables sensibles utilisées
Acteurs finançant et participant à l'étude
Responsable(s) de traitement
Type de responsable de traitement 1
Responsable de traitement 1
Responsable(s) de mise en oeuvre non cités comme responsable de traitement
Responsable de mise en oeuvre non cité comme responsable de traitement 1
Calendrier du projet
Durée de conservation aux fins du projet (en années)
3
Fondement juridique
Article 6 du RGPD (Licéité du traitement)
Article 9 du RGPD (Exception permettant de traiter des données de santé)
Transfert de données personnelles vers un pays hors UE
Droits des personnes
Conformément à l'article 11 du RGPD, compte tenu de l'impossibilité pour le responsable de traitement d'identifier les personnes concernées et de la nécessité du traitement pour l'exécution d'une mission d'intérêt public, les droits prévus aux articles 15 à 20 du RGPD (accès, rectification, effacement, limitation et portabilité) ne sont pas applicables. Le droit d'opposition n'est pas applicable non plus en vertu de l'article 21 du RGPD puisque ce traitement mené à des fins de recherche scientifique est nécessaire pour l'exécution d'une mission d'intérêt public.