N° F20211213145512

Comparaison entre 2 applications de la robothérapie, addition vs substitution, chez des patients post-AVC: impact sur motricité et coût économique.

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Objectif(s) de la recherche et intérêt pour la santé publique

Objectifs poursuivis

Prise en charge des patients

Domaines médicaux investigués

Autre

Bénéfices attendus

Après l’AVC, la parésie spastique constitue le trouble moteur le plus fréquent. La persistance de ces déficits moteurs, qui prédominent au membre supérieur, altère l’autonomie et la qualité de vie des patients sur le long terme. Leur récupération fonctionnelle demeure donc un enjeu déterminant pour le patient et un challenge pour les thérapeutes. Les robots de rééducation et leurs hauts niveaux de contrôle permettent l’administration d’un entraînement moteur générant une pratique intensive. L’application de la thérapie utilisant un dispositif robotisé au sein du programme rééducatif du patient peut se faire selon deux modes : soit elle est ajoutée à la thérapie conventionnelle, c’est le mode dit « en addition. soit elle remplace une partie du temps de la thérapie conventionnelle, c’est le mode dit « en substitution». La comparaison de ces deux modes d’application et leurs incidences sur le plan moteur et économique enrichiraient nos connaissances sur la mise en œuvre clinique de la thérapie utilisant un robot. En effet, peu d’études se sont intéressées à l’effet de différent temps réel de pratique d’une thérapie intensive. Si la littérature a auparavant montré le bénéfice sur le plan moteur d’augmenter le temps prévu de thérapie pour intensifier l’entraînement il est aujourd’hui nécessaire d’objectiver le temps réel de pratique et de l’optimiser afin d’améliorer la productivité des soins au vue de l’incidence de l’AVC qui tend à augmenter.

Données utilisées

Catégories de données utilisées

Informations relatives à la prise en charge sanitaire, médico-sociale et financière associées à chaque bénéficiaire
Informations relatives aux pathologies des personnes concernées

Source de données utilisées

Autres sources

Variables sensibles utilisées

Année et mois de naissance
Date de soins

Acteurs finançant et participant à l'étude

Responsable(s) de traitement

Type de responsable de traitement 1

Etablissement public de santé (dont fédération)

Responsable de traitement 1

La Clinique Les Trois Soleils représentée par son Directrice Générale Cécile Faure.

19 rue du château 77310 Boissise-le-Roi

Calendrier du projet

Terminé
Date de début : 06/06/2019 – Date de fin : 06/06/2022 Durée de l'étude : 3 ans
Etape 1 : Dépôt du projet
13/12/2021

Base légale pour accéder aux données

Durée de conservation aux fins du projet (en années)

15

Fondement juridique

Article 6 du RGPD (Licéité du traitement)

(1)(a) consentement spécifique, éclairé et univoque

Article 9 du RGPD (Exception permettant de traiter des données de santé)

(2)(j) archives, recherche scientifique ou historique, ou statistiques

Transfert de données personnelles vers un pays hors UE

  Non

Droits des personnes

Conformément au Règlement Européen sur la Protection des Données, les personnes concernées par la recherche, seront préalablement et individuellement informées de notre volonté d’utiliser leurs données à des fins de recherche et de leur possibilité de s’y opposer auprès du médecin référent de cette étude, ou auprès du délégué à la protection des données missionné par la Clinique Les Trois Soleils.

Délégué à la protection des données

Société Eusa Consulting

41-43 rue Camille Desmoulins 92130 ssy-les-Moulineaux

dpo@les-trois-soleils.fr