Analyse du point de vue des patientes concernant la possibilité d’autoprélèvement dans le cadre du dépistage du cancer du col de l’utérus
Objectif(s) de la recherche et intérêt pour la santé publique
Objectifs poursuivis
Domaines médicaux investigués
Bénéfices attendus
Jusqu' ici le dépistage du cancer du col de l'utérus se faisait par frottis tous les 3 ans.. Le taux de couverture de ce dépistage stagne autour de 59% depuis 2012, en sachant que moins d’une patiente sur deux est dépistée après 50 ans.. . De nouvelles recommandations ont été publiées par la HAS en juillet 2019. Un test HPV sera réalisé tous les 5 ans pour les patientes de plus de 30 ans. Ces nouvelles recommandations introduisent la possibilité d'autoprélèvement HPV, qui serait une alternative au dépistage fait au cabinet.. La perspective de l’autoprélèvement semble intéressante pour améliorer le taux de dépistage du cancer du col de l‘utérus. Les études montrent en effet des taux de participation plus importants quand l’autoprélèvement est proposé. L’autoprélèvement serait aussi mieux accepté par les patientes ayant un a priori négatif de l’examen gynécologique.. Des limites concernant cette méthode sont pour autant mises en évidence par les patientes dans les études, concernant l’utilisation qui peut -être anxiogène, ainsi que l’intérêt d’une consultation dédiée au suivi gynécologique.. . L’objectif principal de cette étude serait donc de recueillir le point de vue des patientes de 30 à 65 ans en Saône et Loire concernant l’autoprélèvement à la recherche d’HPV dans le cadre du dépistage du cancer du col de l’utérus.
Données utilisées
Catégories de données utilisées
Source de données utilisées
Calendrier du projet
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Durée de conservation aux fins du projet (en années)
2
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